mercredi 30 janvier 2013

LES ACCESSOIRES, MON BORDEL ET MOI




Contrairement à ce que peuvent laisser penser les apparences, ma chambre ressemble davantage à un champs de mine de Sarajevo en plein bombardement qu'à la penderie de Barbie (à mon grand désespoir (et au grand désespoir de ma mère)).

Ipanema cuvée hiver (oui, les soldes continuent pour celles qui auraient bloqué depuis la libération de Florence Cassez), en piécettes dorées, pas comme modèles colorés de l'été (qui font moins leur petit effet quand tu reviens de vacances à ton bureau de Levallois et que t'es blanc comme un lavabo de classe de physique-chimie).

Et bien ça, là, malgré le bordel, malgré le timing du serré du matin, ça se suffit à soi-même et ça peut même vous sauver d'un sale look du jeudi. Le genre de pièce, tu sais que quand tu l'enfiles, tu vas envoyer du respect autour de toi. Comme Peau d’Âne quand elle fait péter la robe couleur du Soleil. Enfin, la même mais dans la vraie vie quoi.